Rencontre du Club de la Performance Energétique RETOURS D’EXPÉRIENCE : COMMENT OPTIMISER VOS INSTALLATIONS SOLAIRES THERMIQUES COLLECTIVES ? Vendredi17 janvier 2014, Dijon Sommaire 17 janvier 2014 GrDF Gaz Réseau Distribution France 17 janvier 2014 GrDF, leader du gaz naturel en Europe 4 GrDF en quelques chiffres 5 GrDF Nos interlocuteurs 6 L’innovation Améliorer la performance énergétique et développer les énergies vertes Solutions gaz & Enr Pompe à chaleur Solaire Solution hybride Optimisation des solutions gaz traditionnelles rénovation du parc existant Production décentralisée d’électricité et de chaleur au GN Cogénération, pile à combustible Réseaux verts et intelligents Biogaz, méthanisation, Power to gas 7 7 Enerplan 17 janvier 2014 Titre de la diapositive Sous-titre Texte de 1er niveau - Texte de 2e niveau - Texte de 3e niveau 17 janvier 2014 9 Eléments de contexte 17 janvier 2014 Le marché du solaire thermique 1. Contexte et enjeux 2. Marché actuel 3. Perspectives et défis Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 1. Contexte et enjeux Des objectifs nationaux très ambitieux 23 % d’EnR dans la consommation d’énergie finale en 2020 Objectifs pour le solaire thermique (horizons 2020)* : Individuel: 817 ktep (17 ktep en 2006) soit 20 millions de m²) Collectif: 110 ktep (10 ktep en 2006) soit 2.75 millions de m² 2020 : 22,8 millions de m² de panneaux solaire thermique, Fin 2012 : 1,8 millions de m² (source Bilan énergétique de la France – 2012) *: Plan de développement des énergies renouvelables à haute qualité environnementale, comité opérationnel n°10 (2008) 20 janvier 2014 1 2 1. Contexte et enjeux Un marché difficile mais de belles opportunités En maison individuelle, un contexte réglementaire favorable RT 2012: Obligation du recours aux EnR Le solaire thermique individuel (CESI) permet de répondre aisément aux exigences réglementaires : 2 m² de panneaux solaire thermique orientés au sud, sud- est, sud-ouest Développement de l’offre CESI optimisé Offre compétitive, pour permettre l’accessibilité au solaire thermique au plus grand nombre Coût réduit, facilité de mise en œuvre 1 3 1. Contexte et enjeux Un marché difficile mais de belles opportunités En immeuble collectif : une solution qui a de l’avenir • Fin du BBC • RT2012 : pas d’exigence EnR en immeuble collectif • RT2012 avant 2015 : surperformance apportée par le solaire non nécessaire Difficulté à court terme RT 2012 Avant 2015 : le solaire permet d’atteindre les niveaux de labels. Après 2015 : solaire nécessaire pour atteindre les exigences réglementaires Bbiomax* Bbiomax-10%* Bbiomax-20%* Cepmax -20% avant 2015 Cepmax -10% après 2015 Cepmax -25% Cepmax -30% Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. Atteinte des labels facilitée 20 janvier 2014 1 4 2. Un marché en difficulté Le marché Français à la peine notamment en SSC Et CESI Tendances 2013: Collectif : -16% (en surface) par rapport à 2012 Individuel : -20% (en nbre) par rapport à 2012 - SSC : -19% (en nbre) par rapport à 2012 Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 1 5 2. Un marché en difficulté Des objectifs inatteignables? Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 1 6 3. Perspectives et défis Pour permettre au solaire de prendre sa place Feuille de route stratégique Solaire Thermique ADEME : • Redonner confiance dans le solaire thermique • Assurer la compétitivité économique : à l’investissement comme à l’exploitation • Fiabiliser les installations : systèmes adaptés, bien dimensionnés, et suivis • Simplifier la mise en œuvre : schémas hydrauliques simplifiés, standardisation des systèmes • Former et améliorer la qualification des acteurs du solaire thermique • Assurer une meilleure visibilité des mécanismes incitatifs Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 1 7 3. Perspectives et défis Quelques objectifs chiffrés Pistes de R&D selon la Feuille de route stratégique Solaire Thermique de l’ADEME Réduction des coûts Objectif: atteindre la parité chaleur (prix du kWh solaire thermique moins cher que les autres énergies) Etat de l’existant Objectifs Réduction des coûts d’installation (fourni-posé) : 1000 €/m² 2020: - 50% Optimisation des coûts d’entretien / maintenance : 20 €/m² (Collectif) 10% des gains (Collectif) Réduction des coûts de chaleur : 2015:12 à 40 2020: 8 à 30 Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 17 à 60 c€/kWh 20 janvier 2014 1 8 3. Perspectives et défis Quelques objectifs chiffrés Pistes de R&D selon la Feuille de route stratégique Solaire Thermique de l’ADEME Simplification et standardisation Objectifs Etat de l’existant Commercialisation de systèmes packagés Système de montage, de fixation, de raccordement hydraulique et de plomberie peu onéreux et standardisés Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. Kit CESI mais rien 2020 : de packagé en 100% CESI collectif 80% collectif Pas de standard 2020 : 80% des installations 20 janvier 2014 1 9 3. Perspectives et défis Quelques objectifs chiffrés Pistes de R&D selon la Feuille de route stratégique Solaire Thermique de l’ADEME Fiabilisation des installations: Objectif: assurer une bonne conception, et une bonne réalisation pour des performances à l’exploitation identifiables Etat de l’existant Gestion de la surproduction de chaleur et de la surchauffe Concevoir des systèmes avec instrumentation embarquée, simples Solutions peu répandues Monitoring non systématique et non intégré et à faible coût Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. Objectifs 2020 : 100% des systèmes qui résistent aux pics de température. Systèmes permettant de limiter la montée en température 2015 : 100% en collectif 10% en individuel 2020 : 80% des installations 20 janvier 2014 2 0 Des acteurs en marche La filière impliquée pour atteindre ces objectifs Les actions Les acteurs Les objectifs Etude de compétitivité de la filière solaire TH ADEME+ Enrst&Young Concevoir un plan d’action nation pour le solaire th Programme RAGE COSTIC, ICO CSTB, TECSOL… Règles de l’art détaillées pour la conception, l’installation et l’exploitation et alimentation de nouveau DTU éventuellement Schémathèques SOCOL GrDF+INES Schémas détaillés Qualisol Collectif Qualit EnR Formation qualifiante installateurs Formations COSTIC, INES, TECSOL… Formations maintenance banc de TP 2 1 Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. simples, Les délais éprouvés 2013 2014 et 2013 / 2014 les 2014 installation et avec un nouveau 2013 pour 20 janvier 2014 Des acteurs en marche L’ensemble de la filière impliqué pour atteindre ces objectifs Les actions Les acteurs Les objectifs Les délais Guide maintenance SOCOL Guide pour les MOA pour les accompagner dans la rédaction de contrat de maintenance 2013 Guide Bailleurs USH, GrDF ADEME Accompagnement des bailleurs dans leur projet Solaire thermique 2014 Initiatives régionales SOCOL ADEME/Régions GrDF Journées de (in)formation sur le solaire thermique Club de la performance énergétiques 2013 / 2014 L’ensemble des acteurs sont réunis dans le plan de relance de la chaleur solaire. 2 2 Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 A partir des retours d’expérience, comment mieux concevoir une installation solaire collective ? Daniel Mugnier, Docteur-Ingénieur TECSOL Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 Introduction sur TECSOL en 2 mots Introduction : Moyens humains - Qualification Premier bureau d’étude français en énergie solaire: 31 collaborateurs dans 9 implantations régionales Qualification OPQIBI Ingénierie des installations de production utilisant l’énergie solaire Étude d’installations de production utilisant l’énergie solaire thermique Étude d’installations de production utilisant l’énergie solaire photovoltaïque Matériel spécifique Études des masques solaires Suivi des installations ECS solaires - GRS Contrôles d’installations photovoltaïques Outils de simulation informatique 25 25 Barcelone 26 Règles de dimensionnement : bases • prise en compte des campagnes de mesures • ratio de consommation réalistes • volume solaire nécessaire Bâtiments cibles / Contraintes Consommations constantes toute l’année , même en été voire favorisées en été : logements, cliniques, hôpitaux, maisons de retraite, piscine, hôtels, tourisme, agriculture, campings, industrie Place disponible pour installer les capteurs Place disponible pour mettre en place le stockage solaire 28 Evaluation des besoins en ECS dans l’existant - Soit à partir de relevés de consommations - Soit avec la pose d’une compteur d’énergie (matériel déjà là ensuite si réalisation projet) B ecs = 1,16 . V ecs . T (kWh) Compteur volumétrique V ecs : volume ECS consommé en m3 T : élévation de température de l’eau - Soit avec la pose d’un compteur mobile (ultrason) si techniquement faisable et pas de comptage disponible - Temps de pose : 1 heure environ - Coût matériel ultrason mobile : 5 à 7000 € HT Mesures par ultrason 29 Exemple de consommation en Languedoc Roussillon (source ADEME) Règle fondamentale générale par défaut: 30 litres par personne et par jour @ 60°C 30 Exemples de consommation 31 Exemples de mesures de consommations Conclusions : - Gros écarts (15<->160l/j) - Prudence obligatoire sur les valeurs à appliquer - Mesures à 40, 45 ou 60°C ? Valeur par défaut : 25 L/j @60°C © Tecsol 32 32 Retour Expérience Etap hôtel ANGERS 56 chambres réparties sur 3 niveaux La production d’eau chaude sanitaire est au gaz naturel, au RDC 33 Retour Expérience Etap hôtel ANGERS Mois Janv. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc. Taux d’occupation (%) 70 76 82 85 82 85 92 89 84 84 78 62 Conso ECS par chambre occupée (l/j) 1960 2128 2296 2380 2296 2380 2576 2492 2352 2352 2184 1736 Conso ECS de référence (l/j) 2000 2100 2300 2300 2300 2300 2500 2500 2300 2300 2200 1700 • Présentation des résultats de calculs 1 2 3 Surface m2 36 36 48 Inclinaison degré 45 30 45 Volume litres 1500 1500 2000 Apports solaires annuels kWh/an 19 107 19 435 23 541 Productivité annuelle kWh/m2.an 531 540 490 4 48 30 2000 23 841 497 Solution Taux de couverture % mini annuel maxi 16,8 41,4 62,9 16,0 42,1 66,0 20,8 51,0 76,0 19,9 51,7 78,8 Production solaire annuelle pour inclinaison 30° la meilleure plus esthétique et moins sensible aux effets du vent. Solution N°4 couvre 52% des besoins annuels, sans dépasser 85% le mois le plus favorable (=> pas de risques de surchauffe). 34 Retour Expérience Etap hôtel ANGERS Besoins annuels : 46 114 kWh/an Apports solaires : 23 841 kWh/an Taux couverture : 51,7% Productivité annuelle : 500kWh/m².an 35 La température d’eau froide Résultats sur des suivis de GRS Températures moyennes d’eau froide Source : COSTIC / SCHEFF Températures d’eau froide observées supérieures aux valeurs de référence => Règle SOLO EMS2 + 3°C 36 Les taux d’occupation Valeurs moyennes statistiques Taux moyen d’occupation Ensemble En immeuble des HLM (*) logements (*) Hors immeuble HLM Maison HLM(*) Taux trouvés sur Maison l’échantillon non EdF hors Taux intuitif (connu pour 40 logements HLM sur 61) 1 pièce 1.17 1.16 1.16 1.19 1.38 1.5 1.16 2 1.41 1.37 1.41 1.26 1.47 2 1.70 3 1.94 2.11 1.89 2.02 1.86 2.5 2.22 4 2.43 2.95 2.33 2.98 2.32 3 2.97 5 2.72 3.65 2.67 3.5 2.64 3.5 3.53 6 pièces ou plus 2.98 3.92 2.93 3.99 2.96 4 ENSEMBLE 2.27 2.3 1.82 2.84 2.51 Source : COSTIC / SCHEFF (*) Source : Calcul USH-DEEF sur fichiers détail du recensement 2008, INSEE Peu de variation entre les maisons et les appartements d’une même catégorie Taux d’occupation plus élevés en HLM à partir des 3 pièces Des taux qui évoluent peu dans le temps Par rapport aux taux intuitifs, écart allant de 0% à 42% pour un T2 Taux intuitifs proches pour des T4,T5 et T6 par contre surévalués pour des T1,T2 et T3 37 Ratios usuels : les bases… …mais très rustiques •1 m² de capteur pour 50 litres d’ECS à Dijon –> Calcul en ligne sur www.tecsol.fr •1 m² de capteur en toiture 3 m² de toiture terrasse •Stockage solaire : 50 litres par m² installé en s’assurant que volume solaire < consommation journalière •Taux de couverture mensuel maxi 85% (en été) •Productivité annuelle entre 500 et 600 kWh / m² de capteur (min 350 kWh/m².an pour Fonds Chaleur) 38 Dimensionnement TRES IMPORTANT ET SENSIBLE Consommations (mesure conso, pondération conso mensuelle) Volume du besoin en été ~ volume solaire 50 L/m² en Bourgogne Surface totale à peu près 39 Itérations SOLO : 85% max mensuel + Meilleur taux de couverture annuel PARENTHESE : notion de taux de couverture (1/2) Selon la norme ISO 9488, utilisée par Solo, donc par la GRS/TélésuiWeb : Tcouv = Qsolaire utile / Qbesoins ecs Selon la RT 2005 : Tcouv = Qsolaire utile / (Qbesoins ecs + Qdistribution ) Selon Tsol ou Polysun Tcouv = Qsolaire utile / (Qbesoins ecs + Qdistribution + Qstockage) = Qsolaire utile / (Qsolaire utile + Qappoint) Conséquence chiffrée sur un exemple… 40 PARENTHESE : notion de taux de couverture (2/2) Exemple de calculs de taux de couverture (Tcouv) Qbesoins ecs = 100 Qsolaire utile = 80 Qdistribution = 50 Qappoint = 80 Qstockage = 10 Selon Solo, Tcouv = 80 % Selon la RT 2005 , Tcouv = 53 % Selon Tsol, 41 Tcouv = 50 % Analyse des schémas de principe - schémas ADEME - approche TECSOL LES SYSTEMES DE PRODUCTION D’ECS TRADITIONNELS Classification selon : puissance pour chauffer l’eau et la capacité d’ECS stockée. Instantanée : pas de capacité de stockage Semi-instantanée : capacité de stockage permettant d’écrêter les pointes en sollicitant simultanément fourniture de puissance et stockage. Semi-accumulée : volume de stockage pour débits de pointe sans faire appel à la puissance. (volume de stockage plus important qu’une installation semi-instantanée mais une puissance plus faible) Accumulée : volume de stockage au moins égal aux besoins journaliers (attention aux pertes). 43 Trois grands types d’installations : - Chauffe-eau solaire collectif à appoint collectif – CESC tous types de bâtiments avec ECS collective (Santé, Hôtellerie, Sport et Loisirs, Logements…) - Chauffe-eau solaire collectif à appoint individuel - CESCAI logements collectifs essentiellement neufs. - Chauffe-eau solaire collectif individualisé - CESCI logements collectifs essentiellement neufs. Titre V RT2005 depuis décembre 2011 – RT2012 compatible* … et des solutions de mise en œuvre innovantes ! 44 CESC - Production solaire collective : * à échangeur noyé pour les petites installations (< à 50 m2) * à échangeur externe. - Production d’appoint centralisée gaz, fioul, électrique, bois… - Distribution bouclée EC vers points de puisage. Pertes bouclage compensées par énergie d’appoint (le bouclage sur le solaire n’est pas une bonne idée sauf pour des systèmes surdimensionnés et très peu utilisés !). Dans le cas de logements, nécessité d’installer des compteurs ECS individuels. Installations soumises à l’arrêté du 30 novembre 2005. 45 Arrêté du 30 novembre 2005 Modifie l’arrêté du 23 juin 1978 qui limite la t° de distribution à 60°C pour pallier les risques de brûlure et qui précise : “Afin de limiter le risque lié au développement des légionelles […] et dans les 24 heures précédant leur utilisation : - Lorsque le volume [du circuit de distribution] est supérieur à 3 litres, la température de l'eau doit être supérieure ou égale à 50 °C en tout point, - Lorsque le volume total des équipements de stockage est supérieur ou égal à 400 litres, l'eau contenue dans les équipements de stockage, à l'exclusion des ballons de préchauffage, doit : * Être en permanence à une température supérieure ou égale à 55 °C à la sortie des équipements, * Ou être portée à une température suffisante au moins une fois par 24 heures. » 46 Arrêté du 30 novembre 2005 47 Schéma de Principe CESC ADEME 48 Schéma technique CESC 49 Schéma technique CESC à échangeur noyé Capteurs TSA Départ eau chaude TSS Retour bouclage Prise échantillon Ballon solaire Régulation Ballon tampon appoint TISI P déflecteur VE C1 Chaudières TBB TEF Clapet EA Arrivée EFS Manchette témoin Prise échantillon Pompe 50 Soupape de sécurité Sonde d'ensoleillement Clapet anti-retour Filtre à tamis à robinet de rinçage Vanne BS NO Vanne BS NF Compteur volumétrique à émetteur d'impulsions Vanne de réglage Purgeur d'air automatique TISI Régulateur / télécontrôleur Sonde PT1000 Production ECS existante Schéma technique CESC avec 2 ballons solaires Départ eau chaude de la production ECS existante vers la distribution TSA Arrivée EFS à la production ECS existante Limites de l'installation solaire Capteurs Prise échantillon Prise échantillon Relativement facile à installer sur de l’existant… TEF TSS Ballon solaire 2000 l N°2 TISI Ballon solaire 2000 l C1 N°1 C1 Régulation TSC P1 déflecteur TBB déflecteur P2 1 seul gros ballon si possible sera toujours mieux que plusieurs petits VE 51 Capteurs Schéma technique CESC à échangeur externe TSA Départ eau chaude TSS Retour bouclage Prise échantillon Ballon solaire TISI Ballon tampon appoint Régulation TBB déflecteur C1 P2 VE TEF Clapet EA Arrivée EFS Manchette témoin 52 Prise échantillon Chaudières TSC P1 Les installations avec échangeur Raccordement des ballons de stockage Départ eau chaude vers l'appoint Capteurs IC RD Ballon N°2 Déflecteur Ballon N°1 Arrivée eau froide Déflecteur VE Mars 2007 53 BP 434 - Tecnosud - PERPIGNAN Cédex Les installations avec échangeur Raccordement des ballons de stockage Départ eau chaude vers l'appoint Capteurs IC RD Ballon N°2 Déflecteur Ballon N°1 Arrivée eau froide Déflecteur VE Mars 2007 54 TECSOL BP 434 - Tecnosud - PERPIGNAN Cédex Tél. : 04 68 68 16 40 ; Fax : 04 68 68 16 41 Les installations avec échangeur Raccordement des ballons de stockage Départ eau chaude vers l'appoint Capteurs IC RD Ballon N°2 Déflecteur Ballon N°1 Arrivée eau froide Déflecteur VE Mars 2007 55 TECSOL BP 434 - Tecnosud - PERPIGNAN Cédex Tél. : 04 68 68 16 40 ; Fax : 04 68 68 16 41 Les installations avec échangeur Raccordement des ballons de stockage Départ eau chaude vers l'appoint Capteurs IC RD Ballon N°2 Déflecteur Ballon N°1 Arrivée eau froide Déflecteur VE Mars 2007 56 TECSOL BP 434 - Tecnosud - PERPIGNAN Cédex Tél. : 04 68 68 16 40 ; Fax : 04 68 68 16 41 Les installations avec échangeur Raccordement des ballons de stockage Départ eau chaude vers l'appoint Capteurs IC RD Ballon N°2 Déflecteur Ballon N°1 Arrivée eau froide Déflecteur VE Mars 2007 57 TECSOL BP 434 - Tecnosud - PERPIGNAN Cédex Tél. : 04 68 68 16 40 ; Fax : 04 68 68 16 41 Les installations avec échangeur Raccordement des ballons de stockage Départ eau chaude vers l'appoint Capteurs IC RD Ballon N°2 Déflecteur Ballon N°1 Arrivée eau froide Déflecteur VE Mars 2007 58 TECSOL BP 434 - Tecnosud - PERPIGNAN Cédex Tél. : 04 68 68 16 40 ; Fax : 04 68 68 16 41 Les installations avec échangeur Raccordement des ballons de stockage 59 Retour Expérience Etap hôtel ANGERS Capteurs solaires Galva 33x42 Cu 40x42 Départ ECS Retour de boucle IC Ballon solaire 2000 litres P1 S1 Ballon 1500 litres Générateur gaz CE Cu 40x42 RD VE Ec h P3 P2 Eau froide Capteurs solaires : SKN2 Budérus - S utile : 46,2 m2 Ballons solaires : TR+ 2000 l. Lacaze - Métaloflex Miroir Ech : Echangeur CT 80Ch MST -1/1- 25 plaques 0,6 - S : 1,84 m2 P1 : Pompe primaire TP 25-50R Grundfos P2 : Pompe secondaire UP 25-45N Grundfos P3 : Pompe remplissage JP5 Grundfos CE : Compteur d'énergie CETAS II DN20 Sappel IC : Interrupteur crépusculaire IC 2000 Merlin Gérin RD : Régulateur différentiel RLE 125 Siémens S1 : Sonde "chaude" QAD 22 Siémens © Tecsol 60 Décembre 2003 ACCOR Etap Hôtel ANGERS Principe général de la production d'eau chaude solaire Bureau d'études Entreprise TECSOL A.T.S. Tecnosud - BP 434 - 66000 PERPIGNAN Tél. : 04 68 68 16 40 ; Fax : 04 68 68 16 41 rue de la Vallée d'Ossau - 64121 SERRES-CASTET Tél. : 05 59 12 86 61 ; Fax : 05 59 33 95 57 60 Principe « eau morte » 61 Schéma technique « eau morte » TECSOL SE Départ Eau Chaude Retour bouclage Capteurs TSRS TISI Régulation Manchette témoin P1 Réservoir solaire N°1 Prise échantillon TSC TSS TSA Prise échantillon Prise échantillon P3 P2 VE Chaudières Réservoir solaire N°2 TEF Arrivée Eau Froide VE Clapet EA Manchette témoin Pompe Clapet anti-retour Vanne BS NO Vanne BS NF 62 Vanne de réglage TA Control Sonde d'ensoleillement CS10 RESOL Soupape de sécurité Compteur volumétrique avec émetteur d'impulsions Purgeur d'air automatique Prise échantillon TISI Régulateur / télécontrôleur Solar Monotor LT-201-PE T-BOX Sonde PT1000 FKP60 RESOL Schéma type le 30/07/2009 BP 434 Tecnosud PERPUGNAN Cedex TECSOL Tél. : 04.68.68.16.40 ; Fax : 04.68.68.16.41 Production d'eau chaude sanitaire solaire Principe général type "eau morte" CESCAI - Production solaire collective avec capteurs sur toitures et ballons en local technique au R0 : * à échangeur noyé pour les petites installations (< à 50 m2) * à échangeur externe. - Distribution bouclée ECS solaire vers producteurs d’appoint individuels. Pertes de bouclage compensées par énergie solaire. - Production d’appoint individuelle électrique ou gaz. Individualisation des charges liées à l’énergie d’appoint ECS. Nécessité d’installer des compteurs ECS individuels. Installations soumises à l’arrêté du 30 novembre 2005. 63 Principe CESCAI 64 Schéma technique CESCAI TECSOL SE Départ ECS TSS Prise échantillon TSC Capteurs TISI Régulation Ballon solaire N°2 Ballon solaire N°1 C2 Prise échantillon C1 TBB TEF Ps déflecteur TRB Retour ECS Arrivée EFS déflecteur EA Prise échantillon VE Eau chaude 65 Eau chaude Eau chaude Groupe de sécurité Groupe de sécurité Groupe de sécurité Groupe de sécurité Eau chaude CESCI - Production solaire collective avec capteurs sur toiture-terrasse ou toiture inclinée + ensemble technique (pompe, expansion, coffret électrique…) sur toiture-terrasse (sous les capteurs) ou en combles. - Distribution bouclée énergie primaire solaire vers chaque logement. Pertes de bouclage compensées par l’énergie solaire. - Ballon solaire avec appoint incorporée électrique ou gaz ou séparé gaz dans chaque logement. Individualisation des charges liées à l’eau et l’énergie ECS. Installations non soumises à l’arrêté du 30 novembre 2005. Projet SCHEFF dans le cadre du Pacte ECS. 66 Schéma technique CESCI « obsolète » Sonde ensoleillement Capteurs solaires Régulation TSC TISI TEB TEC Pompe Purgeur d'air automatique Clapet anti-retour Compteur volumétrique à émetteur d'impulsions Vanne NO TSB TISI Vanne NF Sonde de température PT1000 Vanne d'équilibrage GT2 GT1 GT3 400 litres 200 litres 67 Sonde d'ensoleillement Soupape de sécurité VE GT4 GT5 400 litres 400 litres Régulateur-Télécontrôleur GT6 GT7 400 litres 400 litres 400 litres 300 litres 200 litres 200 litres 300 litres 300 litres 200 litres 200 litres 300 litres 300 litres 200 litres 200 litres 300 litres 300 litres 200 litres 200 litres Schéma technique CESCI modifié Sonde ensoleillement Capteurs solaires TSC Régulation TISI TEB TEC TSB VE Eau froide Eau chaude mitigée Mitigeur thermostatique R+2 Groupe de sécurité Principe de raccordement des ballons Pompe Purgeur d'air automatique Clapet anti-retour Compteur volumétrique à émetteur d'impulsions Vanne NO Vanne NF Vanne d'équilibrage Soupape de sécurité 68 TISI Régulateur-Télécontrôleur Sonde de température PT1000 Sonde d'ensoleillement R+1 RDC Chauffage de piscines 69 Capteurs sans vitrage 70 BASSIN BAC TAMPON Mitigeur thermostatique Chaudière gaz FILTRE Départ ECS solaire vers l'appoint gaz Régulateur pH / Cl Ballon solaire RD Filtre à tamis à robinet de rinçage Pompe Clapet anti-retour Compteur volumétrique à émetteur d'impulsions Vanne de réglage Purgeur d'air automatique Vanne NO Vanne NF Soupape de sécurité 71 Flexibles EPDM tresse inox RD Régulateur différentiel Sonde de régulation Arrivée EF BASSIN BAC TAMPON FILTRE Chaudière gaz Arrivée EF Pompe avec préfiltre RD RD Régulateur pH / Cl Vanne Normalement Ouverte Vanne Normalement fermée 72 Régulateur différentiel Sonde de régulation A partir des retours d’expérience, comment mieux concevoir une installation solaire collective ? Daniel Mugnier, Docteur-Ingénieur TECSOL Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 Règles de dimensionnement et caractéristiques matériels - capteurs - éléments de sécurité - échangeurs - implantation Caractéristiques principales des matériels Capteurs Capteur : Plan vitré, vidangeable Avis technique CSTBat et/ou Solar Keymark Capteurs plans ou capteurs sous vide ?? - Capteur plan mieux adapté en Bretagne que le sous vide pour la production d’ECS (cf. rendement 45°C) - Attention aux risques de surchauffe pour le sous vide (250°C) - Attention à la pose à plat du sous vide (purge) - Technologie sous vide adaptée pour la plage 70-95°C 75 Rendement Courbes du rendement de capteurs et domaines d'application Différence de température entre le capteur et le milieu ambiant [°C] Absorbeur de piscine Capteur plat Capteur de vide 76 0 – 20 °C Chauffage de piscine 20 – 100 °C Eau chaude et chauffage > 100 °C Chaleur de processus 3-13 Mise en œuvre des capteurs solaires Capteurs « indépendants sur support » L’implantation des capteurs solaires 77 Mise en œuvre des capteurs solaires Capteurs « indépendants sur support » 78 Mise en œuvre des capteurs solaires Capteurs « incorporé en toiture » 79 Mise en œuvre des capteurs solaires Capteurs « intégré en toiture » 80 Raccordement des capteurs Sortie Entrée 81 Raccordement des capteurs Sortie Entrée 82 Entrée Formes de raccordement du champ de capteurs et débit 83 Retour Expérience Etap hôtel ANGERS 84 Vannes de réglage Utilité : 85 pour équilibrage surveillance exceptionnelle des débits Ré-équillibrage si nécessaire dans le temps Toujours moins cher que le « Tichelmann équivalent » 5 - Composants Vannes de réglage - Equilibrage manuel à lecture directe - by pass pour lecture facile - Non adapté aux installations collectives (nombreux passages) - Fiabilité dans le temps ? 86 - Aucun réglage sur le chantier - Aucune moyen de contrôle du débit - Pertes de charge énormes : 15 à 200 kPa - Colmatage par résidus Batteries identiques et une seule antenne (moins de 10% des cas en solaire thermique collectif) Non prise en compte des résistances secondaires (obstacles (embranchements, coudes, soudures des raccords) 87 5 - Composants Raccordement des batteries Boucle de Teekelmann Raccordement des batteries Utilisation des vannes de réglage 88 Canalisations extérieures Canalisation du circuit primaire - Cuivre écroui, - Calorifuge extérieur hydrophobe avec protection mécanique résistant aux UV - Majoration des pertes de charges de 20% (antigel) 89 Canalisations extérieures 90 Canalisations extérieures 91 Caractéristiques des composants Fluide caloporteur : Mono propylène glycol (MPG) - contact alimentaire : non toxique - Protection contre le gel 40% en volume pour tenue à -25°C (cristallisation) - Chaleur spécifique et conductivité élevées - Protection contre la corrosion - Elévation du point d’ébullition - Vitesse inférieure à 1m/s - Perte de charge < à 20 mmCE - Conditions sanitaires : liste A (conformité sanitaire) de la DGS 92 Caractéristiques des composants Source : Viessmann 93 Caractéristiques des composants Fluide caloporteur 94 Caractéristiques principales des matériels Echangeur : Plaques inox AISI 316L avec joints EPDM P = 700 W/m2 de capteurs Echangeur 1 passe (durabilité dans le temps) Primaire : Fluide caloporteur D : 50 l/h.m2 capt. ;Dp : 1 mCE ; T° entrée : 55°C Secondaire : Eau sanitaire D : 50 l/h.m2 capt. ;Dp : 1 mCE ; T° sortie : 47°C Ballon : 95 Acier vertical avec piquages ad-hoc Revêtement certifié ACS Jaquette isolante : 100 mm Caractéristiques ballon ECS solaire Jaquette calorifuge épaisseur 100 mm DN 15 : Thermométre 100 Sortie Eau chaude sanitaire Entrée secondaire Trou d'homme 400 Sortie secondaire DN 15 : Sonde Coude déflecteur Axes entrée et sortie secondaire Entrée eau froide 100 Arrivée eau froide 1/2 à 2/3 h virole Anode Hauteur totale Ø standard Trou d'homme Vidange Revêtement intérieur résistant à 95°C 96 Ballon avec revêtement intérieur alimentaire ACS garanti à 95°C, bénéficiant d'une garantie de 5 ans minimum, avec jaquette isolante 100 mm de laine minérale, mousse..... © TECSOL Retour à l’exemple : l’hôtel Etap Hotel Angers 97 98 © TECSOL Vases d'expansion 99 Composants et sous-systèmes des installations solaires thermiques 3-29 Fonctionnement du vase d'expansion Vase divisé en deux parties au moyen d'une membrane. Si Tantigel augmente, V fluide augmente, déplacement de la membrane l'intérieur du vase d'expansion 100 Caractéristiques générales des matériels : Vase d’expansion Approche SOCOL : - Ensemble de protection - Vases d’expansion dans le local, largement dimensionnés avec pression azote inférieure de 0,5 bar à la pression de remplissage - Soupape minimum 3 bar supérieur au VE - Ensemble de remplissage - Pompe de hauteur manométrique correspondant à la hauteur statique de l’installation + 1,5 bar mini 101 Caractéristiques générales des matériels : Vase d’expansion 102 Caractéristiques générales des matériels : Vase d’expansion Autre méthode (dite « allemande » ): - Prise en compte de vaporisation du fluide contenu dans les capteurs pour le calcul du vase Pour : marge de sécurité en cas de dysfonctionnement pour maintenir l’installation en fonctionnement en cas de surchauffe Contre : - ne respecte pas complètement la règlementation vapeur a priori (AFNOR dit que si pour un capteur mais batterie ?) - difficulté de maîtrise des conséquences de phénomènes de vaporisation en collectif - vieillissement accéléré des installations 103 Caractéristiques des composants Circulateurs/pompes (primaire et secondaire) - Sur le départ vers les capteurs - Matériaux adaptés au glycol (pompe primaire) - Circulateurs simples (investissement plus faible) - Débit : 50 l/h.m2 de capteurs - A moteur ventilé Clapets AR : laiton ou bronze à ressort inox 104 Caractéristiques pompes/circuits Pompe primaire : Fluide caloporteur - simple à moteur ventilé avec garniture spécifique - tri 400 V (ou mono 240 V) - d : 50 l/h.m2 de capteurs Pompe secondaire : Eau sanitaire - simple à moteur ventilé avec garniture standard - tri 400 V (ou mono 240 V) - d : 50 l/h.m2 de capteurs Circuit primaire : - Tubes cuivre écroui brasés ou raccords sertis - Calorifuge gaine mousse fermée + PVC série EP Circuit secondaire : - Tubes cuivre écroui brasés ou raccords sertis - Calorifuge gaine mousse fermée + PVC agrafé 105 Caractéristiques des composants Purgeur d’air sur tous les points hauts isolables par vanne ¼ de tour laiton 150°C 106 Caractéristiques des composants Régulateur-Télécontrôleur : Solar Monitor LT-201-PE T-BOX Sonde d’ensoleillement : CS10 RESOL (ou similaire) Sondes de température : PT 1000 à plongeant (FKP 60 RESOL ou similaire) 107 Principe de fonctionnement CESC /CESCAI Pompe primaire : - Mise en route lorsque I > 150 W/m2 - Arrêt lorsque I < 120 + 2 (TBB-20) W/m2 Pompe secondaire : - Asservie à la primaire et - Mise en route lorsque TSC > de 7°C à TBB - Arrêt lorsque TBB < de 2°C à TSC Protection contre surchauffe : Maintien des pompes en fonctionnement si TBB > 85°C Retour en auto lorsque TBB < 60°C 108 Régulateur différentiel Fonctionnement pompe (Tout ou Rien) march e Comparaison entre T° sortie capteur et T° bas ballon stockage arrêt T Déclenchement 2K 109 T Déclenchement 7K T Rayonnement solaire en fonction de la météo 110 Ressources solaires - Rayonnement solaire 2-9 CESCI Caractéristiques principales des matériels Ballons : Ballons CESI agrément CSTB Pompe solaire : Fluide caloporteur - simple à moteur ventilé avec garniture spécifique - mono 240 V - d : 70 l/h.m2 de capteurs Principe de fonctionnement Pompe solaire : - Mise en route lorsque I > 150 W/m2 et TSC > de 7°C à TSB - Arrêt lorsque I < 120 + 2 (TSB-20) W/m2 et TSB < de 2°C à TSC 111 Défauts conception / installation potentiels - Surdimensionnement des installations - Complexité des installations - Raccordements capteurs en batteries - Equilibrage hydraulique du circuit capteurs - Nature des canalisations et calorifuge du circuit capteur - Sous-dimensionnement échangeur, expansion - Situation des sondes de régulation - Absence de purge sur circuit secondaire, type pompe 112 Défauts de conception / installation potentiels -Situation des sondes de régulation Position sonde capteur position sonde ballon - Absence de purge sur circuit secondaire, type pompe (rotor noyé notamment…) 113 Défauts de fonctionnement / exploitation potentiels - Arrêt installation - Pression circuit capteur insuffisante - Dilution antigel excessive, absence de fluide circuit - Mauvaise purge des capteurs - Température appoint excessive 114 Contre-exemples 115 Contre-exemples SE Capteurs production d'appoint TSS Prise échantillon Ballon solaire N°2 Ballon solaire N°1 C1 TSC P1 déflecteur Arrivée EFS P2 C1 Prise échantillon VE Tecnosud - 105 av. Alf red Kast ler BP 90- 434 - 66004 Perpignan cedex Tél: 04.68.68.16.40 - Fax: 04.68.68.16.41 contre exemple 116 Indice Dat e Aut eur Contre-exemples SE 47 Capteurs Départ eau chaude TSS TISI Ballon solaire 2000 litres n°01 TSA Chaudières Ballon solaire 2000 litres n°02 TSC 6 bars TBB Vase expansion Reflex 400 litres TEF C1 Manchette témoin Pompe 117 adoucisseur Arrivée EFS Retour bouclage Soupape de sécurité Sonde d'ensoleillement Clapet anti-retour Filtre à tamis à robinet de rinçage Vanne BS NO Vanne BS NF Compteur volumétrique à émetteur d'impulsions Vanne de réglage Purgeur d'air automatique TISI Régulateur / télécontrôleur TECSOL octobre 2012 80 rue de Paris - 93 100 MONTREUIL Tél. : 01 49 88 92 19 ; Fax : 04 68 68 16 41 Sonde PT1000 Saint-Maur-des-Fossés Contre-exemples 118 Schémas : analyse de ce qu’il ne faut pas faire 119 Schémas : analyse de ce qu’il ne faut pas faire 120 Merci de votre attention + d’info: www.tecsol.fr contacts : Daniel Mugnier – Marie Lyne Laquerrière daniel.mugnier@tecsol.fr Maylis Gutierrez mll@tecsol.fr 121 Installation et maintenance : quels facteurs garants du bon fonctionnement d’une installation ? Daniel Mugnier, Docteur-Ingénieur TECSOL Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 Retour à l’exemple : l’hôtel Etap Hotel Angers Après l’étude, le chantier… Après l’étude, le chantier 12 4 Après l’étude, le chantier 12 5 Après l’étude, le chantier 12 6 Après l’étude, le chantier 12 7 Après l’étude, le chantier 12 8 Après l’étude, le chantier 12 9 Réception et mise en service - protocole de réception - points de contrôle à la mise en service Rédaction des pièces écrites : CCTP & DPGF Rappel : Déroulement d’une opération de production d’ECS solaire collective - Etude de pré-diagnostic ou faisabilité. * Financée par l’ADEME (non systématique selon régions ; 50%) * Permet au maître d’ouvrage de faire demande à l ’ADEME (et la REGION) de financement de l’opération. - Maîtrise d’œuvre de l’opération. * Financée dans le cadre du Fonds Chaleur * Etablissement du dossier de consultation des entreprises (PRO) * Analyse des offres (ACT) * Vérification du dossier d’execution (VISA) * Suivi des travaux (DET) * Réception des travaux (AOR) * Suivi du télécontrôle 131 Rédaction pièces écrites : CCTP & DPGF SOMMAIRE CHAPITRE 1 - PRESCRIPTIONS GENERALES 1.1. Objet du CCTP 1.2. Règlements et normes 1.3. Pièces à fournir par les concurrents à l’appui de l’Acte d’Engagement 1.4. Pièces à fournir par l’entreprise titulaire du présent lot 1.4.1. Avant le commencement des travaux 1.4.2. Avant la réception des travaux 1.5. Responsabilité de l’entreprise 1.6. Brevets 1.7. Contacts avec les services publics ou privés 1.8. Qualité et origine des matériaux 1.9. Responsable de l’exécution 1.10. Organisation du chantier – Délais - Pénalités 1.11. Coordination avec les autres corps d’état 1.12. Modifications de prestations en cours d’exécution 1.13. Essais, Garanties et Réception des installations 1.13.1. Garanties de bonne construction 1.13.2. Vérifications 1.13.3. Constatation des défauts 1.13.4. Modalités des essais 1.13.5. Frais afférents aux opérations de contrôle 1.13.6. Réception 1.13.7. Garanties de Résultats CHAPITRE 2 - BASES DE CALCULS 2.1. Bases des calculs des installations solaires et de leurs performances énergétiques 2.1.1. Méthode de calculs 2.1.2. Données météorologiques 2.1.3. Données sur la consommation d’eau chaude sanitaire 2.1.4. Caractéristiques des composants 2.1.5. Prédimensionnement des installations 2.1.6. Présentation des résultats des calculs 2.2. Caractéristiques et nature des fluides et énergie 2.2.1. Fluides et énergies fournis 2.2.2. Caractéristiques des fluides à obtenir 2.3. Règles et données à respecter CHAPITRE 3 - DESCRIPTION ET CONSISTANCE DES TRAVAUX 3.1. Généralités 3.1.1. Principe général de la production ECS actuelle 3.1.2. Description des équipements de production d’eau chaude sanitaire existants 3.1.3. Description sommaire des travaux à effectuer 3.1.4. Caractéristiques générales des matériels 3.2. Consistance des travaux 132 Le CCTP : 1) Prescriptions générales 2) Bases de calculs 3) Description et consistance des travaux Rédaction pièces écrites : CCTP & DPGF Le DPGF : 1) Structuré 2) Détaillé 3) Document de référence (même si non considéré comme pièce contractuelle) 4) Utile pour l’EXE 133 134 © TECSOL 135 © TECSOL 136 © TECSOL 137 © TECSOL 138 © TECSOL 139 © TECSOL 140 © TECSOL 141 © TECSOL 142 © TECSOL 143 © TECSOL 144 © TECSOL 145 © TECSOL Mise en service de l’installation - Remplissage du circuit capteur en fluide antigel complet « prêt à l’emploi », alimentaire, assurant une protection à – 25°C. Pression du circuit = H statique + 1 bar - Réglage des régulations : • Primaire : marche : 150 W/m2 ; arrêt : 120 W/m2 • Secondaire : marche : Dt = 7°C ; arrêt : Dt = 2°C - Réglage des vannes d’équilibrage par manomètre à microprocesseur (CBI TA Control) avec blocage des vannes et remise du rapport de réglage 146 Installations sous pression Essais circuits : - en pression eau de ville => nécessité de vidange - en pression d’air Remplissage circuit primaire : N’effectuer le remplissage que lorsque l’installation peut être mise en service et que les besoins en ECS sont positifs. Le remplissage doit s’effectuer hors période d’ensoleillement. - Fluide caloporteur : prêt à l’emploi à base de mono- propylèneglycol, agréé par le ministère de la santé Tifocor (-28°C) ; Héliogel CS 80 (-25°C) Dehon-Services Calop 30D (-15°C) PCMB 147 Installations sous pression Remplissage circuit primaire (suite): - Pression de remplissage = hauteur statique de l’installation + 1,5 bar résiduel dans les capteurs. Ex.: Bâtiment R+5 avec capteurs en toiture et local en R0 = Env. 20 m + 1,5 bar = 3,5 bar. Pression azote vase d’expansion = 3 bar. Remplissage à la pompe électrique avec vannes d’isolement des purgeurs automatiques ouvertes. Ne refermer les vannes que plusieurs jours après le remplissage en vérifiant et compensant les baisses éventuelles. Mise en service de l’installation : - Sitôt après avoir effectué le remplissage. - Réglages vannes TA suivant méthode Régis après fermeture des vannes d’isolement des purgeurs. 148 Mise en service installations autovidange B1 TSA Départ eau chaude TSS Réservoir de vidange Retour bouclage Ballon tampon appoint Ballon solaire TISI P1 TSC TBB Chaudières Régulation déflecteur V2 V1 Vanne remplissage-vidange P2 C1 Prise échantillon TEF Prise échantillon Clapet EA Arrivée EFS Pompe Soupape de sécurité Sonde d'ensoleillement Clapet anti-retour Vanne BS NO Compteur volumétrique à émetteur d'impulsions Vanne BS NF Adoucisseur Vanne de réglage Purgeur d'air automatique TECSOL 149 TISI Régulateur / télécontrôleur Sonde PT1000 08/2010 BP 434 - Tecnosud - PERPIGNAN Cédex Tél. : 04 68 68 16 40 ; Fax : 04 68 68 16 41 Production solaire Principe auto-vidangeable Mise en service installations autovidange (1/2) PROCEDURE DE REMPLISSAGE DES INSTALLATIONS AUTOVIDANGEABLES La batterie de capteurs la plus éloignée de l’échangeur doit être équipée d’un bouchon démontable (B1) sur son collecteur bas à l’extrémité opposée à l’entrée. Le remplissage du circuit primaire s’effectuera au moyen d’une pompe électrique (ou manuelle) raccordée au piquage de vidange au point le plus bas de l’installation (V1). Le principe consistera à remplir le circuit jusqu’au niveau du collecteur bas des capteurs (B1), volume (v) auquel, une fois ce niveau stabilisé, sera prélevé la quantité (q) de fluide correspondant à la dilatation maximale (q = v x 0,07). 150 Mise en service installations autovidange (2/2) PROCEDURE DE REMPLISSAGE DES INSTALLATIONS AUTOVIDANGEABLES Le remplissage s’effectuera par la vanne V1 et la méthode à suivre est la suivante : - enlever le bouchon B1 et fermer la vanne V2 (vanne d’isolement de la pompe). Prévoir un réservoir sous l’extrémité du collecteur (B1) - remplir le circuit jusqu’au niveau du collecteur bas des capteurs (écoulement fluide B1), arrêter le remplissage, - ouvrir la vanne V2 et laisser le niveau du fluide se stabiliser, - compléter le remplissage jusqu’au collecteur bas des capteurs, arrêter le remplissage et laisser s’écouler l’excédent de fluide. - une fois le niveau stabilisé, prélever la quantité de fluide correspondant à la dilatation maximale calculée ci-avant au niveau de V1 et ensuite remettre le bouchon. 151 Check list de réception des installations • Pas forcément de document universel : fonction de la complexité de l’installation • Possibilité de guides et de canevas • Les CR de chantier doivent servir de références • Les documents de référence étant le DPGF et le CCTP… Un canevas ADEME ! 152 Check list de réception des installations (1/3) 153 Check list de réception des installations (2/3) 154 Check list de réception des installations (3/3) 155 Exemple de liste de réserves de PV réception (CESC) 156 Suivi, entretien et exploitation Comment assurer le minimum d’entretien pour un bon fonctionnement sur la durée.. Pourquoi besoin de suivi Un défaut sur la partie solaire (sonde, régulation, circulateur défectueux, …) peut passer inaperçu si l’appoint « fait son travail » : • • • • les utilisateurs disposent toujours d’eau chaude dégradation des parties sensibles (joints, raccords,…) bilan économique dégradé les maîtres d’ouvrage deviennent méfiants => Pour s’assurer de détecter rapidement un défaut, un suivi dans la durée est indispensable 158 Suivi, entretien et exploitation Le suivi des installations solaires thermiques collectives est OBLIGATOIRE dans le cadre des financements publics, et dans tous les cas INDISPENSABLE pour assurer au maître d'ouvrage la pérennité et le bon fonctionnement de son installation Il doit être associé à une maintenance CURATIVE ..et à une visite de contrôle/entretien légère et annuelle 159 Différents moyens de suivi Suivant : - 160 la taille de l’installation le maître d’ouvrage les moyens techniques sur place • Relevé manuels • Télérelevés Relevés manuels 161 Relevés manuels Production solaire utile est calculée en valeur d’énergie utile à la sortie du ballon solaire Comparaison mensuelle et action corrective si nécessaire 162 Relevés manuels Télésuiweb : mesures et calculs 163 Télérelevés Principe : tout est automatique en terme de suivi 2 grandes familles : • Contrôle de bon fonctionnement (CBF) • Garantie de Résultats Solaires (GRS) 164 Télésuivi GRS/CBF : concept & outils Un concept et une mise en pratique (TECSOL 1987), 2 objectifs liés Une offre solaire crédible • => Responsabiliser les entreprises • => Prévoir, contrôler et garantir les performances Des installations performantes dans la durée Un outil technique : le télésuivi GRS/CBF basé sur • Le calcul des performances théoriques : SOLO • La mesure et l’analyse continues des performances réelles • La détection, le diagnostic et l’alarme en cas de dysfonctionnement Des outils contractuels : les conventions GRS/CBF 165 GRS & CBF : Les principes GRS CBF Convention entre client et entreprises bureau d’études, installateur, fabricant de capteurs, maintenance Objectif de production d’énergie 80% de la production théorique SOLO Moyens de suivi des performances poste local, liaison, superviseur distant Moyens de maintien des performances expertise, alarmes, contrat d’intervention Clauses de Pénalité restaurer la rentabilité 166 Constat performances outil pour le client Convention GRS : contractants Maître d’ouvrage <==> Groupe garant constitué progressivement Bureau d’études : s’engage lors de l’étude, écrit le précontrat GRS Installateur : s’engage dans la réponse à l’AO (précontrat GRS) Fabricant du capteur : s’engage dans la réponse à l’AO Maintenance/Exploitant : s’engage dans le contrat d’entretien Contrat GRS final signé à la réception 167 Convention GRS : objectif chiffré Calculer la production solaire théorique : Eth (méthode SOLO) Définir la production solaire garantie : EGar = r * Eth ✓ r = 0,8 abattement tenant compte des incertitudes L’installation est réputée devoir produire l’énergie garantie en moyenne annuelle sur la période de garantie (±5 ans) La garantie n’est redéfinie que si les besoins sont inférieurs à ceux prévus (consommation inférieure à la référence). 168 Convention GRS : pénalités Montant des travaux - montant brut : 50 000 € (50 m2) - subvention 40% - montant subvention déduite : 30 000 € Production annuelle - théorique : 40 MWh - garantie : 32 MWh - mesurée en moyenne sur 5 ans : 30 MWh (150 MWh en 5 ans) Ratio production/garantie = 30/32 = 93,75% (déficit : 6,25%) Pénalité : 6,25% x 30 000 € = 1 875 €. 169 La GRS : contraintes & solutions ‣ Contraintes liées au solaire thermique en général Méthode de calcul : précision limitée, certains schémas non gérés ✓=> prendre une marge de sécurité sur les performances ✓=> besoins de développement ‣ Contraintes liées au télésuivi en général (ECS solaire a fortiori) Coût élevé pour les installations de petite taille ✓=> décliner le concept : suivi simplifié, CBF ‣ Contraintes spécifiques à la GRS Problèmes juridiques et d’assurance liés aux pénalités ✓=> décliner le concept : CBF 170 Télésuivi & GRS : une réalité • plus de 20 ans de pratique en matière de télésuivi GRS • + de 1000 ans mesures cumulées en ECS solaire / 250 installations • en phase avec le Fonds Chaleur (data) mais pas seulement (alarmes) Analyse échantillon Télésuivi TECSOL (8900m² pour 100 installations, données 2009) => 94 % des installations produisent plus de 80% de SOLO… 171 CBF : les idées directrices Garder «l’esprit» GRS, adapter «la forme», en option réduire le coût Garder l’esprit : ✓Mesure et qualification des performances (suivi) ✓Moyens de rétablir les performances (alarmes) Faire des compromis sur la forme : ✓Pas de pénalités formelles => c’est au maître d’ouvrage de réclamer Permettre éventuellement (pas obligatoirement) un suivi moins coûteux ✓laisser au maître d’ouvrage la responsabilité du suivi d’alarme 172 Télésuivi GRS/CBF : La pratique Calcul Ig VEC P1 P2 TEF TSA TSS TSC Bilans Expertise (semi-auto) Installation solaire Poste local Suivi détaillé : poste + ligne téléphonique + analyse fine Surcoût initial : ± 1000 € ; suivi : 600 €/an * Soit 40 €/m2 pour une installation de 100 m2 (suivi 5 ans) Suivi simplifié : compteur manuel + analyse simple Surcoût initial : ± 300 € ; suivi : 100 €/an * Soit 20 €/m2 pour une installation de 30 m2 (suivi 3 ans) (*) dans le cadre d’une maîtrise d’oeuvre, sinon 750 à 1500 € de plus 173 Alarmes Télésuivi : Installation ECS Circuit Primaire (fluide antigel) 174 Secondaire (eau sanitaire) Télésuivi : Mesures & calcul Ig. TSS TSC TSA TEF P1 P2 TBB VEC Production solaire utile : Bilan ESol = Cp. VEC.(TSS-TEF) • Régulation de l’installation : états supplémentaires et algorithmes 175 Synthèse : quittance mensuelle Bilan réel et théorique (mois courant et cumul) Transmis à tous les partenaires • Consommation (vraie/prévue) Commentaire du fonctionnement. • Production solaire, appoint • Garantie et écart à la garantie • CO2 évité 176 Synthèse : rapport annuel (1) 6000 150 5000 125 4000 100 3000 75 2000 50 1000 25 Conso ECS ref (l/j) 177 Conso ECS réelle (l/j) Garantie (kWh/j) déc 05 nov 05 oct 05 sep 05 aoû 05 jui 05 jui 05 mai 05 avr 05 mar 05 fév 05 0 jan 05 0 Production solaire (kWh/j) kWh/jour litres/jour Hôpital de Bitche - 2005 - Graphe des données mensuelles. Synthèse : www.tecsol.fr 178 Expertise (interne) : graphe à 10’ Courbe journalière avec la consommation ECS 179 GRS/CBF/télésuivi : Limitations Le télésuivi ne rendra pas performante une “mauvaise” installation ➡ il ne rend pas obsolète le choix d’un schéma simple et validé ➡ il ne rend pas obsolète une mise en oeuvre soignée La détection et le diagnostic n’impliquent pas la réparation effective ➡ La chaîne technique de maintenance n’est pas toujours assez efficace et elle est difficilement automatisable ➡ Les dysfonctionnements n’ont pas de conséquence immédiate : Le service en eau chaude reste assuré. Le télésuivi doit être «rentable» : un rapport coût-bénéfice pertinent implique d’ajuster objectifs et moyens à la taille de l’installation 180 Retour à l’exemple : Etap Hotel Angers 2005 181 Retour à l’exemple : Etap Hotel Angers 2006 182 Retour à l’exemple : Etap Hotel Angers 2007 183 Retour à l’exemple : Etap Hotel Angers 2008 184 Généralités sur la maintenance : 3 niveaux 1) Maintenance curative => réparation après la panne 2) Maintenance préventive => observation de déviations et réparation/chgt avant la panne 3) Maintenance prédictive => étude statistique de risques et remplacement programmé Industrie Focus sur la procédure adaptée au solaire thermique collectif : CURATIF … mais la maintenance doit plutôt être une surveillance et les changements de matériels doivent être rares 185 Maintenance de l’installation : protocole ADEME (1/3) 186 Maintenance de l’installation : protocole ADEME (2/3) 187 Maintenance de l’installation : protocole ADEME (3/3) 188 Détection sur Bilans (jour/semaine) Symptômes : Production nulle, P1 arrêtée Diagnostic : Pompe HS, disjonctée, ou régulation. 189 Détection sur data à 10’ Symptôme : Mauvais transfert primaire- secondaire Diagnostic probable : baisse de pression primaire. 190 Merci de votre attention + d’info: www.tecsol.fr contacts : Daniel Mugnier – Marie Lyne Laquerrière daniel.mugnier@tecsol.fr Maylis Gutierrez mll@tecsol.fr 191 Quels dispositifs d’aides aujourd’hui ? Lilian Geney, Chargé de missions énergies renouvelables ADEME lilian.geney@ademe.fr Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 Sommaire – Les aides pour le solaire thermique en région Bourgogne • Programme Energie Climat Bourgogne 2014 Critères d’éligibilités Système d’aides • Le fonds chaleur renouvelable 2013 dans l’attente de 2014 Critères d’éligibilités Système d’aides Evolution du fonds chaleur pour 2014 – Solaire thermique : état des lieux et bilans • Bilan • Prix moyen constaté – La redynamisation de la filière solaire thermique collective Les aides en région Bourgogne – Le Programme Energie Climat Bourgogne • Programme partenarial entre l’ADEME, la région Bourgogne, l’Etat et le FEDER (fonds européen) qui date de plus de 20 ans • En cours de construction du CPER et des fonds FEDER sur la période 2014-2020 – Le Fonds chaleur renouvelable • Dispositif de l’Etat faisant suite au Grenelle de l’Environnement pour développement la chaleur renouvelable (réseau de chaleur, biomasse, solaire thermique et géothermie profonde et superficielle) dont la gestion est confiée à l’ADEME depuis 2009 – Les 2 systèmes sont complémentaires Les aides en région Bourgogne Quelques règles à respecter : – Pas d’aide possible sur les opérations dans le neuf où le solaire thermique permet de respecter la réglementation thermique en vigueur. Il faut que le solaire thermique permette d’aller plus loin que la réglementation en vigueur. – Déposer les dossiers de demande de subvention avant la signature des ordres de service aux entreprises pou respecter le fonctionnement des fonds publiques, PECB 2014 Critères d’éligibilité pour les études d’aide à la décision – Etude obligatoire dès 20 m² de capteurs envisagés cahier des charges type sur www.bourgogne.ademe.fr – Sur bâtiment existant, campagne de mesure de 2 mois – Pour l’existant, étude de faisabilité solaire thermique couplée à un pré-diagnostic énergétique PECB 2014 Critères d’éligibilité pour les investissements – Si bâtiment de plus de 2 logements (intermédiaire ou semi-collectif) prévoir mutualisation de la surface de capteurs – Installation au sol éligible mais attention à la performance du système (Attention longueur liaison) – Capteurs installés entre Sud-Est (Sud -45°) et Sud-Ouest (Sud +45°) – Instrumentation et suivi des performances dès 10 m² de capteurs : • Comptage de la consommation d’ECS • Comptage de l’énergie solaire utile • Prévoir un système de suivi le plus simple possible en fonction du schéma hydraulique de l’installation qui devra être le plus simple possible PECB 2014 Critères d’éligibilité pour les investissements – Suivi des performances sur 1 an pour bénéficier du solde de la subvention (20%) Pas d’atteinte de performance fixée – Orientation vers le fonds chaleur dès que les critères le permettent Attention : certaines activités sont concurrentiels même quand elles sont portées par des collectivités (camping par exemple) PECB 2014 Le système d’aide – Etude de faisabilité • Entre 50 et 70% du coût de l’étude – Secteur non concurrentiel • 60% du montant HT l’installation solaire (capteurs, ballon solaire, régulation, liaison capteurs/ballon) plafonné à : 600 € / m² de capteurs vitrés 75 € / m² pour la moquette solaire – Secteur concurrentiel • De 45 à 65% du montant HT de l’installation solaire plafonné à 600 € / m² selon le règlement d’exemption X63/2008 FONDS CHALEUR 2013 Présentation – Une des mesures phares pour le développement des énergies renouvelables. – Doté d’un montant de 1,2 milliards d’Euros sur la période 2009-2013 pour le financement de projets dans l’habitat collectif, l’industrie et le tertiaire. Poursuite en 2014 avec un budget national d’environ 200 M€. – Objectif : rendre compétitive les installations d’énergies renouvelables par rapport aux énergies conventionnelles. FONDS CHALEUR 2013 Critères d’éligibilité – Projet d’eau chaude voire chauffage de bassins pour piscine. Les installations individuelles ne sont pas éligibles. • Secteur Logement collectif et extension : secteur hébergement permanent ou longue durée (secteur hospitalier, structures d’accueil, maisons de retraites, …) • Secteur Tertiaire Industrie Agriculture : hôtels, hôtellerie de plein air à usage non saisonnier (période ouverture plus longue que juillet/août), piscines collectives, cantines/restaurant, activités agricoles (laiteries, fromageries) et process industriel consommateur d’eau chaude. – Projets sur bâtiment neuf (sauf si installation solaire permet respect RT 2012), existant ou réhabilitation d’installation d’avant 1992. FONDS CHALEUR 2013 Critères d’éligibilité – Eligibilité à partir de 25 m² de capteurs par installation et de 2 installations de 15 m² pour un même « marché/opération ». – Productivité d’énergie solaire utile minimale : • 350 kWhutile / m² / an mais il est recommandé de viser une productivité de 500 kWhutile / m² / an • Utilisez les logiciels ou outils utilisant la méthode SOLO (gratuit), les logiciels SIMSOL (gratuit mais schémathèque limité) et TRANSOL. – Dépenses éligibles de l'installation solaire doivent être inférieures à : 1 200 € HT /m² capteur solaire (secteur : LC) 1 100 € HT /m² capteur solaire (secteurs : TIA) FONDS CHALEUR 2013 Critères d’éligibilité – Pour bâtiment existant : obligation de réaliser une campagne de mesure des consommations d’eau dès 100 m² de surface solaire – Capteurs solaires certifiés CSTbât, Solar Keymark ou autres certifications européennes – Instrumentation et suivi des performances obligatoires FONDS CHALEUR 2013 Système d’aide Aide forfaitaire pour 25 à 100 m² de capteurs – Pas d’analyse économique mais respect de l’ encadrement des aides aux entreprises Forfait de 675 € / an / TEP solaire utile sur 20 ans (secteur : LC) soit 13 500 € / TEP Forfait de 575 € / an / TEP solaire utile sur 20 ans(secteurs : TIA) soit 11 500 € / TEP solaire utile Pour les installations de plus de 100 m² – Aide déterminée par analyse économique en visant 5% de décôte du coût de chaleur renouvelable par rapport au coût énergie conventionnelle avec une aide maximale de • 675 € / an / TEP solaire utile sur 20 ans (secteur : LC) soit 13 500 € / TEP solaire utile • 575 € / an / TEP solaire utile sur 20 ans(secteurs : TIA) soit 11 500 € / TEP solaire utile FONDS CHALEUR 2013 Les schémas type éligibles – Quatre types d'installations de production ECS solaire sont privilégiés. Ceux-ci représentent les cas les plus fréquents, les mieux maîtrisés par les professionnels et pour lesquels il est relativement aisé de mettre en place un suivi de la production solaire cf. méthode fonds chaleur – D'autres types d'installations pourront être financés sous réserve que chaque projet présente un bilan technique et économique satisfaisant ainsi qu'une méthode de suivi de la production solaire adaptée. A définir avec la direction régionale de l’ADEME. FONDS CHALEUR 2013 Les schémas type éligibles FONDS CHALEUR 2013 Les schémas type éligibles FONDS CHALEUR 2013 Les schémas type éligibles FONDS CHALEUR 2013 Les schémas type éligibles FONDS CHALEUR 2013 Le suivi des performances Les obligations : • Installation entre 25 m² et 50 m² Relevé des compteurs d’énergie manuellement Relevé mensuel et transmission annuelle du tableau de bord à l’ADEME Relevé pendant 10 ans • Installation supérieure à 50 m² Télérelevé des compteurs d’énergie Télérelevé journalier par la plate-forme ADEME Télérelevé pendant 10 ans FONDS CHALEUR 2013 Ouverture du règlement en 2013 Possibilité d’aider sur des crédits fonds chaleur : – les études de faisabilités • Entre 50 et 70% du montant de l’étude – les installations entre 7 m² et 25 m² • Dans le domaine du logement social mais aussi dans le domaine sanitaire et social, maisons de retraites et patrimoine des collectivités • Attention : installations doivent être instrumentées et suivies !!! • Aide sous forme d’un forfait : idem fonds chaleur classique – Reconduite en 2014 ? FONDS CHALEUR 2013 Les évolutions pour 2014 • Suppression schéma dans méthodologie et référence à la schémathèque SOCOL (schéma avec positionnement instrumentation) • Suppression télérelevé • Suppression mention « suivi simplifié » et remplacement par la mesure solaire utile Dijon 02 04 2013 Principales modifications non validées à ce jour : – Obligation réaliser une campagne de mesure pour assurer un bon dimensionnement – Obligation maintenance liée à un suivi pendant 2 ans mini – Modification complète de la partie monitoring 212 Solaire thermique Etat des lieux et bilan en Bourgogne – Nombre d’études de faisabilités financées ? – Nombre d’installations et surface financées et bilan financier sur période 2001 à 2013 • Près de 6 170 installations aidées pour 37 320 m² • Près de 11,1 millions d’aides – Prix moyen au m² Bilan sur les études de faisabilités financées 53 études financées pour 180 600 € de coût de prestation et 132 000 € d’aide Bilan particuliers entre 2002 et 2010 Près de 5 000 installations pour 28 350 m² et près de 7 millions d’aides Bilan hors particuliers inférieur à 10 m² entre 2003 et 2013 Près de 1 020 installations pour 4 440 m² et près de 2,2 millions d’aides Bilan hors particuliers supérieur à 10 m² entre 2002 et 2013 Près de 190 installations pour 4 760 m² et près de 2 millions d’aides Prix moyen en € HT par m² Nombre de dossiers financés Redynamisation de la filière solaire thermique collective – Création d’un groupe SOCOL régional • 1 réunion d’échanges avec maîtres d’ouvrages, bureaux d’études, fabricants, exploitants en septembre 2013 – Création d’une plaquette de retour d’expérience et d’un film sur une opération dans l’industrie – Réflexion sur le lancement d’une campagne d’audits sur une 20aine d’installations solaires thermiques collectives – Réflexion sur la mise en place d’une AMO expérimentale sur l’accompagnement de 5 opérations de la phase APS à la 1ère année de suivi Merci de votre attention Zoom sur les solutions d’aujourd’hui : autovidangeable et solutions individualisées Daniel Mugnier, Docteur-Ingénieur TECSOL Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 Systèmes souspression et autovidangeables - différences et équivalences - avantages de chacune des solutions - particularités des mises en œuvre techniques Introduction autovidangeable Technologie des années 80 (origine Hollande) pour éviter les risques de gel Premières installations collectives (faibles importances) par TECSOL en 2001 sur sites à besoins ECS intermittents Généralisation sur installations collectives (toutes tailles) par TECSOL depuis 2007 avec d’autres acteurs (ex : Eklor) 2 2 4 Introduction autovidangeable Technologie des années 80 (origine Hollande) pour éviter les risques de gel Premières installations collectives (faibles importances) par TECSOL en 2001 sur sites à besoins ECS intermittents Généralisation sur installations collectives (toutes tailles) par TECSOL depuis 2007 avec d’autres acteurs (ex : Eklor) 2 2 5 Principe autovidangeable : échangeur noyé Sonde régulation Pompe à moteur ventilé RD Régulateur différentiel Clapet anti-retour Sonde de régulation Vanne BS NO Purgeur d'air automatique Vanne BS NF Réservoir inox calorifugé Soupape de sécurité Compteur volumétrique à émetteur d'impulsions Départ ECS Th 85°C Ballon solaire Ballon d'appoint Retour bouclage RD Sonde régulation Piquage remplissage et vidange circuit capteurs 2 2 6 Clapet EA Arrivée EFS Principe autovidangeable échangeur extérieur SE h2 < à HM de la pompe à débit nul Capteurs TSA Départ eau chaude TSS Ballon tampon appoint Ballon solaire Réservoir de vidange h1 > à NPSH de la pompe Retour bouclage TISI Régulation TBB P2 déflecteur C1 Prise échantillon Clapet EA Arrivée EFS Adoucisseur 2 2 7 Chaudières TSC P1 TEF Prise échantillon Comparaison des systèmes SE SE Capteurs Capteurs TSS TSS Réservoir de vidange Ballon solaire TISI TSC P1 Ballon solaire TISI TBB TSC P1 TBB déflecteur déflecteur P2 P2 C1 VE TEF Clapet EA Arrivée EFS INSTALLATION SOUS PRESSION 2 2 8 C1 Vanne remplissage-vidange TEF Clapet EA Appoint Arrivée EFS Appoint INSTALLATION AUTOVIDANGEABLE Principe de fonctionnement de l’autovidangeable Niveau fluide Pompe primaire : - Mise en route lorsque I > 150 W/m2 - Arrêt lorsque I < 120 W/m2 Niveau fluide Pompe secondaire : - Asservie à la primaire et - Mise en route lorsque TSC > de 7°C à TBB - Arrêt lorsque TBB < de 2°C à TSC Pompe à l'arrêt Protection contre surchauffe : Arrêt des pompes si TBB > 85°C Retour en auto lorsque TBB < 60°C 2 2 9 Pompe en fonctionnement Exemples de mise en œuvre autovidangeable © TECSOL Les Compagnons du Devoir et du tour de France Angers 2 3 0 © TECSOL Ibis Villefranche sur Saône © TECSOL Exemples de mise en œuvre autovidangeable Exemple de mise en œuvre autovidangeable (Ibis Villefranche sur Saône) 2 3 1 Exemples de mise en œuvre autovidangeable Exemple de mise en œuvre autovidangeable (Ibis Bourges) 2 3 2 Résultats de l’IBIS de Bourges 2 3 3 Niveau de diffusion de la technologie Fin 2012 en France ≈ 500 installations autovidangeables Hypothèses : - Installations conçues et/ou suivies par TECSOL : une soixantaine - Installations conçues et développées par Eklor : plus de 300 - Autres : environ 150 Applications : - Hôtellerie - Tertiaire (équipements sportifs, bureaux) - Logements collectifs - Etablissements de santé - Industrie - Piscines - Hôtellerie de plein air Mise en œuvre du local technique avec réservoir standard 2 3 4 Réalisations 2 3 5 Exemple d’installations autovidangeables 80 dont 44 équipées d’un télécontrôleur et 36 équipées d’un compteur d’énergie => 3 600 m² + 175 m3 (stockage solaire). Installations conçues par TECSOL et télécontrôlées Large proportion eau glycolée : vidangeabilité totale difficile 2 3 6 Installations en suivi simplifié 2 3 8 Forces et limites de l’autovidange (1/3) • FORCES Absence totale de risques de • vaporisation, y compris en cas de dysfonctionnement (coupure de courant…) • Simplicité de mise en œuvre, • (pas de nécessité de pente d’écoulement en dehors des batteries de capteurs…) • 2 3 9 Suppression des éléments sensibles (purgeurs, Vase Expansion, clapets AR…) • LIMITES Tous les capteurs ne sont pas vidangeables (même si une très grande majorité des fabricants présents en France en ont dans leur gamme) La technologie n’est pas encore très connue à la fois du côté des bureaux d’études que des installateurs La technologie nécessite quelques nouvelles règles à appliquer au niveau conception et mise en service donc bouscule les traditions Forces et limites de l’autovidange (2/3) • FORCES Simplicité du remplissage du circuit (absence d’expansion et de purge…) • • Limitation des risques de fuites (fonctionnement à pression atmosphérique) • Protection simple et efficace • contre les risques de surchauffe et de gel, en respect de la législation Le circuit primaire doit être étanche à l’air et notamment face à des légères variations de pression • Limitation des opérations de maintenance avec possibilité d’intervention sans nécessité de bâcher les capteurs ou vider le circuit Le local technique solaire doit être situé sous le niveau des capteurs solaires 2 4 0 LIMITES Absence de certains composants ce qui modifie la structure de la fourniture de matériel solaire • La solution peut risquer de systématiquement sur-dimensionner les installations au détriment de leur performance économique Forces et limites de l’autovidange (3/3) FORCES Plus grande fiabilité (peu de risques de panne) • • Performances plus élevées dans la durée • Solution adaptée aux utilisations ECS intermittentes • Coûts d’investissement et d’exploitation plus faibles LIMITES Méthode de remplissage qui doit être réalisé selon les règles de l’art (cf. plus tard), sous peine de risque de surchauffe à l’arrêt (dilatation fluide menant à une irrigation des capteurs) L’autovidange peut être adaptée à tous les types d’installations (CESC, CESCAI, CESCI, « eau morte ») 2 4 1 Systèmes collectifs individualisés - technologie et mise en œuvre - avantages /inconvénients - éléments technico économiques Schéma technique CESCI Sonde ensoleillement Capteurs solaires TSC Régulation TISI TEB TEC TSB VE Eau froide Eau chaude mitigée Mitigeur thermostatique R+2 Groupe de sécurité Principe de raccordement des ballons Pompe Purgeur d'air automatique Clapet anti-retour Compteur volumétrique à émetteur d'impulsions Vanne NO Vanne NF Vanne d'équilibrage Soupape de sécurité 2 4 3 TISI Régulateur-Télécontrôleur Sonde de température PT1000 Sonde d'ensoleillement R+1 RDC Principales innovations Immédiate - Equipements techniques (pompe, expansion, coffret électrique) sous les capteurs ou en combles - Distribution verticale vers chaque ballon depuis la toiture ou les combles via les gaines EU (purge facilitée). Futures (projet PACTE ECS ADEME : SCHEFF) - Adaptation des ballons aux besoins avec diminution de leur coût (modification positionnement piquages, canne anti thermosiphon, répartition volumes solaire/appoint). - Systèmes d’équilibrage simplifiés et moins chers - Adaptation de l’autovidange 2 4 4 Schéma technique CESCI modifié Sonde ensoleillement Capteurs solaires TSC Régulation TISI TEB TEC TSB VE Eau froide Eau chaude mitigée Mitigeur thermostatique R+2 Groupe de sécurité Principe de raccordement des ballons Pompe Purgeur d'air automatique Clapet anti-retour Compteur volumétrique à émetteur d'impulsions Vanne NO Vanne NF Vanne d'équilibrage Soupape de sécurité 2 4 5 TISI Régulateur-Télécontrôleur Sonde de température PT1000 Sonde d'ensoleillement R+1 RDC 3 appoints validés par le TitreV Configuration 2 : appoint gaz séparé avec chaudière individuelle Configuration 1 : appoint électrique intégré dans le ballon électrosolaire Mitigeur thermostatique Eau chaude Eau froide Ballon solaire Groupe de sécurité Groupe de sécurité Mitigeur thermostatique Echangeur appoint gaz Eau chaude mitigée Configuration 3 : appoint gaz intégré dans le ballon bi-énergie Partie médiane Echangeur solaire Groupe de sécurité 2 4 6 Eau froide Eau chaude Sortie ECS Départ chauffage Eau chaude mitigée Arrivée Gaz Eau chaude préchauffée Retour chauffage Mitigeur thermostatique Entrée eau froide Ballon électrosolaire Eau froide Eau chaude mitigée Chaudière individuelle Le soucis de la RT2012 : modélisation impossible de l’appoint gaz chaudière double utilisation Configuration : appoint gaz séparé avec chaudière individuelle Chaudière individuelle Sortie ECS Départ chauffage Arrivée Gaz Eau chaude mitigée Retour chauffage Entrée eau froide Mitigeur thermostatique Eau chaude préchauffée Eau froide Ballon solaire Groupe de sécurité Mitigeur thermostatique Eau chaude mitigée Echangeur appoint gaz Partie médiane Configuration : appoint gaz intégré dans le ballon bi-énergie 2 4 7 Echangeur solaire Groupe de sécurité Eau froide Eau chaude Analyse forces/faiblesses du CESCI Travail optimisation du projet de R&D AVANTAGES - COMPENSATION PERTES BOUCLAGE CESCI (CES collectif individualisé) INCONVENIENTS - ESPACE REQUIS DANS LOGTS POUR BALLON - INDIVIDUALISATION CHARGES EAU - PRIX BALLONS SOLAIRES INDIVIDUELS ET ENERGIE DE LA PRODUCTION ECS ELEVES - DISTRIBUTION ENERGIE SOLAIRE EN GAINES EU-EV logements - SUIVI FONCTIONNEMENT ET PERFORMANCES PLUS DELICAT - CREATION LOCAL PRODUCTION ECS + GAINES DISTRIBUTION ECS CESC (CES collectif centralisé) - ADAPTATION SITE EXISTANT - RECOUVREMENT CHARGES EAU ET ENERGIE ECS PAR GESTIONNAIRE - LIBERATION ESPACE DANS LOGTS - MAINTIEN PERMANENT BOUCLE ECS > 50°C (Légionelles) - PERTES THERMIQUES BOUCLAGE COMPENSEES PAR L’APPOINT Développement industriel (SCHEFF) dans le cadre du PACTE ECS soutenu par l’ADEME 248 2 4 8 Avantage net du CESCI pour diminuer les pertes de bouclage PERTES CIRCUITS HYDRAULIQUES Comparaison des différentes solutions sur la base du bâtiment A-B des Jardins d'Espagne à Perpignan (CESCI "parapluie) Circuits primaire et secondaire (CESC) CESC CESCI "classique" canalisations Cu Epaisseur mousse Pertes thermiques (mm) (mm) (W/°C.m) Longueur (m) Pertes (W/°C) Longueur (m) Pertes (W/°C) 40x42 19 0,33 100 33 130 42,9 30x32 19 0,27 35 9,45 37 9,99 26x28 19 0,24 12 2,88 20x22 19 0,21 12x14 13 0,19 916 174,04 10x12 13 0,14 1362 190,68 Total 42,45 420,49 Pertes thermiques annuelles sur la base d'un t moyen de 30°C et d'un fonctionnement des pompes de 1200 h/an kWh/an 1 528 15 138 Circuit bouclage ECS (CESC) CESCI "parapluie" Longueur (m) Pertes (W/°C) 102 33,66 54 14,58 22 5,28 25 5,25 510 96,9 530 74,2 229,87 8 275 CESC canalisations Cu Epaisseur mousse Pertes thermiques (mm) (mm) (W/°C.m) Longueur (m) Pertes (W/°C) 52x54 25 0,33 10 3,3 40x42 19 0,33 40 13,2 30x32 19 0,27 60 16,2 26x28 19 0,24 40 9,6 20x22 19 0,21 50 10,5 12x14 13 0,19 10x12 13 0,14 Total 52,8 Pertes thermiques annuelles sur la base d'un t moyen de 40°C et d'un fonctionnement de la pompe 24h/24 kWh/an 18 501 … mais existence de pertes liées à l’individualisation (stockages individuels) Le bâtiment A-B des jardins d'Espagne scomprend 53 logements, les caractéristiques principales de l'installation sont les suivantes : * 77 m2 de capteurs Vitosol 200-F SV1 Viessmann * Besoins annuels : 75 981 kWh * 2Apports solaires annuels : 45 190 kWh 4 9 Tecsol le 23/08/2010 Synthèse : le CESCI idéal pour… • une résidence de logements neufs ou rénovation lourde • bâtiment entre 5 et 50 logements • individualisation des charges eau et énergie de la production ECS • sans contrainte par rapport à l’arrêté de novembre 2005 • limitation des pertes de distribution et compensation par l’énergie solaire • récupération des pertes de stockage ECS en hiver pour le chauffage du logement • ni local technique ni gaines spécifiques à créer 2 5 0 Offre des fabricants en CESCI Offre partielle (composants) ATLANTIC BOSCH CHAFFOTEAUX/ARISTON CHAPPEE DE DIETRICH SAUNIER DUVAL / VAILLANT* VIESSMANN * : offre C3 CESCAI adaptable CESCI 2 5 1 Offre complète système sélection Analyse critique des offres CESCI SOLUTION PARAPLUIE ECHANGEUR A PLAQUES SOLUTION INTERMEDIAIRE PRIMAIRE AUTOVIDANGEABLE ATLANTIC BOSCH CHAFFOTEAUX/ARISTON CHAPPEE DE DIETRICH SAUNIER DUVAL / VAILLANT VIESSMANN Systématique Optionnel 2 5 2 Focus sur le coût du CESCI Coût par m² de capteur : 1880 €/m². Coût du poste distribution/ballons majoritaire. Décomposition pour ce projet parapluie représentative des prix actuels 2 5 3 Merci de votre attention + d’info: www.tecsol.fr contacts : Daniel Mugnier – Marie Lyne Laquerrière daniel.mugnier@tecsol.fr Maylis Gutierrez mll@tecsol.fr 2 5 4 Les outils à votre disposition Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 Les outils à votre disposition Les logiciels de dimensionnement des installations solaires 2 5 6 Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 17 janvier 2014 Les outils à votre disposition La plateforme SOCOL Les objectifs L’amélioration des compétences par la formation L’accès aux connaissances par la diffusion d’outils L’intégration des retours d’expérience des professionnels et des institutionnels dans les régions La promotion des bonnes pratiques et recommandations Structurer et développer une offre qualitative Partage de l’information Développer de l’intelligence collective 2 5 7 Les outils à votre disposition La plateforme SOCOL Des réponses concrètes pour le marché Fiche d’information sur le suivi et l’instrumentation Fiche de sensibilisation sur la maintenance Guide d’accompagnement à la réalisation des contrats de maintenance Fiches d’opérations exemplaires Bibliothèque de schémas de principe d’installations Fiche technique sur le dimensionnement des vases d’expansion Référentiels de formation (déroulés pédagogiques) Une note d’alerte sur la valorisation du ST au sein de la RT2012 2 5 8 Les outils à votre disposition La plateforme SOCOL Des réponses concrètes pour le marché En préparation : Révision de la bibliothèque de schémas de principes Révision des ratios usuels de besoins Ecs Fiches techniques sur le commissionnement spécifique au STC Guide pour l’intégration de critères STC dans les marchés Guide d’usage des solutions ST au sein du moteur ThBce 2012 Outil d’aide à la décision des porteurs de projets Fonds Chaleur Fiches techniques diverses En lien avec l’ADEME : GRS 2.0 + Contrats types de maintenance 2 5 9 Les outils à votre disposition La plateforme SOCOL : schémathèque 2 6 0 Les outils à votre disposition La schématèque GrDF : contenu 1 Généralités Conception et installation Réglementation prévention légionnelle 2 Schémas CESC CESC - 1 ballon CESC - plusieurs ballon CESC en eau technique - 1 ballon CESC en eau technique – plusieurs ballon 3 Schémas CESCAI CESCAI - 1 ballon CESCAI - plusieurs ballon CESCAI en eau technique - 1 ballon CESCAI en eau technique – plusieurs ballon 4 Schémas CESCI CESCI CESCI parapluie 5 Spécificité drain back / Autovidangeable 20 janvier 2014 2 6 1 Les outils à votre disposition La schématèque GrDF : Exemple CESC, plusieurs ballons 2 6 2 Les outils à votre disposition La schématèque GrDF : exemple CESC, plusieurs ballons 2 6 3 Les outils à votre disposition La schématèque GrDF : Exemple CESC, plusieurs ballons 2 6 4 Les outils à votre disposition La schématèque GrDF : Exemple CESC, plusieurs ballons 2 6 5 Les outils à votre disposition SOLEGAZ :L’outil en ligne destiné aux MOA, collectivités, BET Une structure suivant les 4 phases d’un projet Chaque phase est déclinée en étapes Pour chaque étape, l’essentiel des actions à mettre en œuvre, les démarches à lancer… Mise à disposition de tous les outils (documents, guides, check-lists, liens internet…) Une rubrique pour aller plus loin dans l’information 2 6 6 Conclusion Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 20 janvier 2014 Vos contacts GrDF en Bourgogne Marché d’affaires : Résidentiel : Tertiaire : Pôle Efficacité Energétique : Marché Grand Public : 2 6 8 Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 17 janvier 2014 Merci de votre attention Club de la Performance Energétique sur le Solaire Thermique, Dijon. 17 janvier 2014
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